On peut préparer un bon thé de manière machinale... mais on peut aussi aller au-delà, au moins par la pensée.
Une fois qu'il est prêt, on peut le déguster, l'analyser, l'apprécier, l'intellectualiser, le mettre en mots, mais si cet exercice solitaire est absolument génial, il ne peut perdurer uniquement sous cette forme ! Toute cette chaîne invisible, tous ces liens qui relient des hommes entre eux, trouvent leur ultime raison d'être dans la dégustation de la liqueur.
Du choix du cultivar à la tasse, en passant par toutes les phases de culture, taille, conduite de la plante, récolte, transformation, maturation et enfin préparation, c'est une succession d'opérations faites par les hommes pour les hommes, jusqu'à l'obtention de ce breuvage qui nous ravit.
La dernière opération sera la dégustation.
On peut déguster son thé en solitaire, on peut le ritualiser, on peut s'en imprégner et on peut méditer, philosopher... mais c'est en se plaçant dans la longue chaîne humaine de sa production qu'il prend tout son sens. alors pourquoi le boire seul ?
Du choix du cultivar à la tasse, en passant par toutes les phases de culture, taille, conduite de la plante, récolte, transformation, maturation et enfin préparation, c'est une succession d'opérations faites par les hommes pour les hommes, jusqu'à l'obtention de ce breuvage qui nous ravit.
La dernière opération sera la dégustation.
On peut déguster son thé en solitaire, on peut le ritualiser, on peut s'en imprégner et on peut méditer, philosopher... mais c'est en se plaçant dans la longue chaîne humaine de sa production qu'il prend tout son sens. alors pourquoi le boire seul ?
C'est lorsque le thé est partagé qu'il prend définitivement une dimension liée à l'humanité.
Lorsque je bois mon thé, je poursuis le tissage immatériel de tous ces liens qui aboutissent à ma tasse, pour mon plus grand plaisir. Partageons le plaisir !
On retrouve cette idée dans la cérémonie japonaise du thé : préparer un thé et le partager.
On retrouve cette idée dans beaucoup de sociétés où le premier signe de l'hospitalité est d'offrir un thé. On pense à l'Inde, à la Chine, au Japon, à la Turquie, aux pays africains...
Préparer le thé c'est aussi préparer le thé pour l'autre, pour un autre, quel qu'il soit.
Cette intention modifie les choses et donne une dimension nouvelle à cet acte simple qui consiste à chauffer de l'eau et à y faire infuser des feuilles de thé.
Et cet acte, fondamentalement humain, appelle une autre action, fondamentalement humaine : parler de ce thé, ou d'autre chose. Au sensible ajouter le langage et l'entrée dans le monde symbolique. Etendre la perception à l'échange des idées.
Finalement le monde tient dans une tasse de thé.
Retrouvez les autres résolutions en cliquant sur les liens ci-après :
Résolution N°6 : déguster en pleine conscience et en prenant le temps
On retrouve cette idée dans la cérémonie japonaise du thé : préparer un thé et le partager.
On retrouve cette idée dans beaucoup de sociétés où le premier signe de l'hospitalité est d'offrir un thé. On pense à l'Inde, à la Chine, au Japon, à la Turquie, aux pays africains...
Préparer le thé c'est aussi préparer le thé pour l'autre, pour un autre, quel qu'il soit.
Cette intention modifie les choses et donne une dimension nouvelle à cet acte simple qui consiste à chauffer de l'eau et à y faire infuser des feuilles de thé.
Et cet acte, fondamentalement humain, appelle une autre action, fondamentalement humaine : parler de ce thé, ou d'autre chose. Au sensible ajouter le langage et l'entrée dans le monde symbolique. Etendre la perception à l'échange des idées.
Finalement le monde tient dans une tasse de thé.
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